J'ai toujours été fan des mijotés et des plats "paysans", à l'origine considérés comme de la bouffe de pauvres. J'avais d'ailleurs consacré un chapitre entier à cette thématique dans mon livre "La Faim du Monde". Ce qui caractérise le pörkölt hongrois est son goût prononcé de paprika et la grande taille des morceaux de viandes auxquels on ajoute une bonne quantité de crème sure.